«Cuando se han escalado los peldaños más elevados de la gloria, cualquier elogio es superfluo. Ese es el caso de Octavio Paz. Lo que lamento tanto como su muerte, una pérdida irreparable de la que seguramente nos costará mucho reponernos, es la interrupción definitiva de un torrente de belleza, reflexión y análisis que saturó de extremo a extremo del siglo XX, y cuya onda expansiva ha de sobrevivir por mucho tiempo. Coincido con todos aquellos que cataloguen a este artista, uno de los mejores escritores con que ha contado la literatura mexicana, como uno de los maestros fundamentales de las letras castellanas y universales.»Gabriel García Márquez
«Cuando escribes la biografía de un amigo, debes hacerlo como si estuvieses tomando venganza en su nombre.»Gustave Flaubert, carta a Ernest Feydeau, 1872.
The Time Traveling Fashionista by Bianca Turetsky«What if a beautiful vintage dress could take you back in time? Louise Lambert has always dreamed of movie starlets and exquisite gowns, and longs for the day when she can fill the closet of her normal suburban home with stylish treasures. But when she receives a mysterious invitation to a vintage fashion sale in the mail, her once painfully average life is magically transformed into a time-travel adventure. Suddenly onboard a luxurious cruise ship a hundred years ago, Louise relishes the glamorous life of this opulent era and slips into a life of secrets, drama, and decadence... Dreamy and imaginative, The Time Traveling Fashionista features thirty full-color fashion illustrations to show gorgeous dresses and styles throughout history. The ship is the Titanic, by the way.»
«Más vale una auténtica tristeza que una falsa alegría.»
André Comte-Sponville, El amor la soledad.
Je ne sais ce qui me possède
Et me pousse à dire à voix haute
Ni pour la pitié ni pour l'aide
Ni comme on avouerait ses fautes
Ce qui m'habite et qui m'obsède
Celui qui chante se torture
Quels cris en moi quel animal
Je tue ou quelle créature
Au nom du bien au nom du mal
Seuls le savent ceux qui se turent
Machado dort à Collioure
Trois pas suffirent hors d'Espagne
Que le ciel pour lui se fît lourd
Il s'assit dans cette campagne
Et ferma les yeux pour toujours
Au-dessus des eaux et des plaines
Au-dessus des toits des collines
Un plain-chant monte à gorge pleine
Est-ce vers l'étoile Hölderlin
Est-ce vers l'étoile Verlaine
Marlowe il te faut la taverne
Non pour Faust mais pour y mourir
Entre les tueurs qui te cernent
De leurs poignards et de leurs rires
A la lueur d'une lanterne
Étoiles poussières de flammes
En août qui tombez sur le sol
Tout le ciel cette nuit proclame
L'hécatombe des rossignols
Mais que sait l'univers du drame
La souffrance enfante les songes
Comme une ruche ses abeilles
L'homme crie où son fer le ronge
Et sa plaie engendre un soleil
Plus beau que les anciens mensonges
Je ne sais ce qui me possède
Et me pousse à dire à voix haute
Ni pour la pitié ni pour l'aide
Ni comme on avouerait ses fautes
Ce qui m'habite et qui m'obsède
Extrait du poème d'Louis Aragon “Prologue”.
«One thing was certain, that the WHITE kitten had had nothing to do with it:—it was the black kitten's fault entirely. For the white kitten had been having its face washed by the old cat for the last quarter of an hour (and bearing it pretty well, considering); so you see that it COULDN'T have had any hand in the mischief.»Lewis Carroll, Through the Looking Glass.
Avalorios © 2010 :: Fotografía: “Haiku Lili” de Jorge Ávalos © 2009.
